Choreographing Inclusion: Difference Maker of the Year, Sophia Koster, Advocates for Disability Inclusion Through Dance
Accessibility and advocating for disability inclusion have always been a part of Sophia Koster’s life. Growing up with her older brother who has Autism, Sophia saw how he was excluded from activities that every child should have the opportunity to be a part of. While she has been actively involved in the disability community for as long as she can remember, it wasn’t until a few years ago that she found how to use her own unique voice to make a difference.
Le français suit l’anglais

Sophia founded an inclusive dance program called Choreographing Inclusion. The program creates a welcoming and disability inclusive space where teens and young adults of all abilities can participate in dance.
“It doesn’t matter if you are neurotypical or neurodiverse,” Sophia said. “We can all unite through movement.
Sophia, a student at Bishop Carroll High School in Calgary, Alberta, was one of the recipients of the Rick Hansen Foundation School Program (RHFSP) Difference Maker of the Year Award.
The RHFSP Difference Maker of the Year Award celebrates youth ages 5-18 whose accessibility projects go above and beyond to make their schools and communities more inclusive by creating more awareness and removing barriers for people with disabilities.
“Receiving this recognition has been a highlight. Rick is very inspirational, and his mission closely aligns with my own,” Sophia said of the award. “It made me proud to be a recipient.”

Building a community
“I was a competitive dancer for over 10 years,” Sophia explained. “While Choreographing Inclusion is a dance program, I also wanted to impart a larger message about inclusion.”
That is exactly how she chose the name. She wants to choreograph – and build – a world without barriers.
Sophia has been able to teach dance at local adult day programs as well as expand into the disability inclusive day camp she works at in the summer – Camp Bonaventure.
“A lot of my friends, some of which even work at the camp, used to be scared of having these kinds of conversations, but because of the exposure to my work, they are open to asking and talking about disability. Some even want to work in the space going forward,” Sophia said.
Sophia says that it is amazing and rewarding to see the impact she has made so far. From the people she teaches, to raising awareness, Sophia wants to continue to push and continue to advocate for a more accessible world.
“For me the biggest thing is having conversations about accessibility and inclusion,” Sophia said. “I want people to be comfortable talking about it so we can move forward.”

Uniting us all
Sophia has one quote that she always goes back to: “diversity is a fact, inclusion is an act.”
She believes that each of us can use our own voices to make a difference and we can all work together to create a more accessible and inclusive world.
“We have to work until accessibility is the norm,” she said. “We all have to act and take actions to break down the barriers to accessibility.”
For Sophia, accessibility is the ability for everyone to do everything, and for each and every one of us to participate in whatever they have a passion for.
Le français
Inclusion en chorégraphie : Sophia Koster, lauréate du prix Personne qui fait une différence de l’année, mise sur la danse pour militer en faveur de l’inclusion des personnes en situation de handicap.
L’accessibilité et la défense de l’inclusion des personnes en situation de handicap ont toujours fait partie de la vie de Sophia Koster. Sophia, qui a grandi avec un frère aîné autiste, a constaté son exclusion d’activités auxquelles toutes et tous les enfants devraient avoir la possibilité de participer. Même si elle s’est toujours impliquée au sein de la communauté des personnes en situation de handicap, ce n’est qu’au cours des récentes années qu’elle a compris comment exploiter ses forces uniques pour faire une différence.

Sophia a lancé un programme de danse inclusif qu’elle appelle Choreographing Inclusion (inclusion en chorégraphie). Ce programme offre un endroit accueillant et inclusif où les ados et les jeunes adultes de tous les niveaux peuvent participer à des cours de danse.
« Peu importe que vous soyez une personne neurotypique ou neurodiverse », souligne Sophia. « Nous pouvons toutes et tous nous mouvoir en harmonie. »
Sophia, une élève de l’école secondaire Bishop Carroll à Calgary, en Alberta, a reçu le prix Personne qui fait une différence de l’année du Programme scolaire de la Fondation Rick Hansen (PSFRH).
Le prix Personne qui fait une différence de l’année du PSFRH récompense les jeunes de 5 à 18 ans qui se surpassent pour réaliser des projets d’accessibilité afin de favoriser l’inclusion en sensibilisant autrui ainsi que d’éliminer les obstacles au sein de leur école et de leur collectivité pour les personnes en situation de handicap.
« Recevoir cette récompense représente beaucoup pour moi. Rick Hansen est une vraie source d’inspiration et sa mission concorde bien avec la mienne », affirme Sophia à propos du prix. « J’étais fière d’être sélectionnée. »

Édifier une communauté
« J’ai fait de la danse de compétition pendant plus de 10 ans », raconte Sophia. « Même si Choreographing Inclusion est un programme de danse, je voulais aussi véhiculer un message plus large sur l’inclusion. »
Ce qui explique précisément pourquoi elle a choisi ce nom. Elle veut chorégraphier – et édifier – un monde sans obstacle.
Sophia a enseigné la danse dans le cadre de programmes locaux pour les adultes, en plus de l’enseigner au Camp Bonaventure, un camp de jour inclusif pour personnes en situation de handicap où elle travaille pendant l’été.
« Beaucoup de mes camarades, dont plusieurs travaillent même au camp, avaient auparavant des appréhensions à aborder ce type de sujets, mais mon initiative leur a permis de s’ouvrir à poser des questions et à parler des handicaps. Certaines de ces personnes envisagent même de travailler à l’avenir dans ce domaine », ajoute Sophia.
Sophia affirme qu’il est remarquable et gratifiant de constater la portée de ce qu’elle a accompli jusqu’à présent. Qu’il s’agisse de ses élèves ou de la sensibilisation du public, Sophia souhaite poursuivre ses efforts et continuer à militer en faveur d’un monde plus accessible.
« Ce qui me tient le plus à cœur, c’est d’engager le dialogue sur l’accessibilité et l’inclusion », précise Sophia. « Je souhaite que les gens se sentent à l’aise pour en parler afin que nous puissions progresser. »

Mobiliser tout le monde
Sophia répète constamment cette citation : « La diversité est un fait, l’inclusion est une contribution.»
Elle estime que chaque personne peut utiliser sa propre voix pour faire une différence et que nous pouvons toutes et tous collaborer afin d’édifier un monde plus accessible et plus inclusif.
« Nous devons poursuivre nos efforts jusqu’à ce que l’accessibilité devienne la norme », déclare-t-elle. « Tout le monde doit agir et contribuer à éliminer les obstacles à l’accessibilité. »
Sophia considère que l’accessibilité repose sur la capacité de tout le monde à tout accomplir et sur la participation de chaque personne à ce qui la passionne.